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23 février 2007

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17 février 2007

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Nicolas
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21 mars 2006

Collaborateur Citoyen - Idée de génie !

sfrPrendre quelques jours par an sur son temps de travail pour les consacrer à une association : c'est désormais possible pour les salariés de SFR.

Le groupe a en effet lancé le 14 mars 2006, le statut de "collaborateur citoyen", qui permet à un salarié de bénéficier d'absences rémunérées (jusqu'à 11 jours/an) pour s'investir dans une association reconnue d'intérêt général.

Comme quoi, Quand on veut, on peut. Certains patrons devraient prendre exemple. Cette idée est une très bonne chose qui apportera aux salariés mais surtout aux associations.

Espérons que le concept se généralise.

15 mars 2006

La Sièste au Travail - (Ah oui ? quand ?)

Mercredi 15 mars est la 6e Journée nationale du sommeil. sieste

Un sujet auquel les Français sont sensibles : ils se plaignent den manquer de plus en plus.
Pour se sentir mieux en cas de "coup de pompe", il existe une solution : la sieste. Une pratique dont les spécialistes louent les bienfaits : en 10 à 20 minutes, on a le temps de se reposer vraiment, et de finir sa journée en pleine forme.

Rares sont les entreprises a avoir osé mettre la sieste au planning de leurs salariés. Chez Leblon-Delienne, dans la région de Rouen, on pratique la sieste depuis deux ans. Et à Paris, un journaliste économique, lui, a réussi a imposer sa pause quotidienne au reste de la rédaction

12 mars 2006

Carrefour - Canal+ : Mêmes méthodes !

logocarrefour



Christelle Chabaud, journaliste pour le journal "L'Humanité", a recueilli les propos d'un ancien agent de sécurité.
Celui-ci
raconte les missions d’espionnage que le groupe lui commanditait pour contrôler les salariés.
Des agissements commis en toute illégalité.


Article paru dans l'édition du 20 janvier 2006

Plus de 60 milliards d’euros annuels de chiffre d’affaires, 420 000 salariés et quelque 10 000 magasins à travers le monde. Un mastodonte de la grande distribution dont l’obession principale est de sans cesse réduire les coûts pour gagner en rentabilité. Salaires au rabais, temps partiels, turnover n’en sont que les outils légaux. À visage découvert, Régis Serange, trente-six ans, témoigne aujourd’hui de l’autre facette de la course à la rentabilité de Carrefour. De la facette qui outrepasse les lois et le Code du travail, à laquelle Régis a « appartenu » pendant deux ans.

Les débuts

« Je suis arrivé chez Carrefour le 8 septembre 2001 dans l’hypermarché d’Écully, en région lyonnaise, en tant qu’agent de sécurité. Mais mon employeur direct est Prestige sécurité, une société prestataire de services. Officiellement, mon boulot consiste à éviter les fraudes de la clientèle. Mais, très vite, je fais mes preuves et je suis intégré dans l’équipe "prévol" du magasin [surveillance en civil - NDLR]. Je me sais surveillé par le chef de la sécurité mais j’arrive à gagner sa confiance. Dès lors, il me met dans les confidences de certains agissements de "surveillance particulière" du personnel. Le cercle vicieux est lancé, cela va durer jusqu’à janvier 2004. »

La pente s’incline

« Un jour, mon chef me prend à part et me glisse que, si j’accepte de rendre quelques petits services, j’ai de l’avenir chez Carrefour en tant que cadre. J’accepte. En juin 2002, ma première mission est une infiltration dans un hypermarché du groupe à Reims pour détecter un éventuel trafic de détournement de marchandises. Pendant un mois et demi, en "sous-marin", je pose des caméras cachées et des micros un peu partout. J’ai carte blanche. Je joue le copain, les gens parlent assez facilement. Résultat, une vingtaine de mises en examen au sein du personnel et de l’encadrement complice. Du coup, je reçois même une lettre de félicitations du directeur du magasin. La méthode d’investigation était quand même loin d’être la meilleure, je ne suis pas officier de police. Mais mes responsables me rassurent : "T’inquiète, on est chez nous, on fait ce qu’on veut". »

Retour aux sources

« Suite à cela, je rentre à Écully, espérant que ce succès sera couronné par mon embauche officielle. En vain... On me demande de patienter encore un peu. Vu que je commence à sérieusement m’agacer de la situation, on me propose dans la foulée une nouvelle mission sur le magasin de L’Isle-d’Abeau, en Isère, en août 2002. Objectif, remplacer le chef de sécurité parti en vacances qui, apparemment, est un incapable. J’accepte en bon soldat, sans avoir aucune formation. Heureusement qu’il n’y a pas eu d’incident majeur ! En plus des caméras cachées, on me demande de dégager un responsable de la sécurité externe pour "délit de sale gueule". »

Antisyndicalisme

« L’objectif de toutes ces missions, cela a toujours été de réussir à trouver des preuves pour virer des gens. Ceux qui coûtent trop cher, ou encore, ceux trop proches des syndicats. Sur l’hypermarché d’Écully, on m’a demandé de monter une embuscade sur une hôtesse d’accueil à temps partiel. Elle osait prendre le café avec des syndicalistes ! On a glissé un billet de cinquante euros dans un portefeuille, quelqu’un le lui a remis et n’est pas resté avec elle pour vérifier le contenu. Aucun papier d’identité dans le portefeuille, la fille a mis le billet dans sa poche... Sans savoir qu’elle était filmée. Du jour au lendemain, cette fille s’est - retrouvée sans un sou, avec toutes les difficultés que comporte un licenciement pour "faute grave". Elle est tombée en dépression pendant de longs mois. Elle vient à peine de retrouver du boulot. »

La carotte

« J’ai fait le chien dans l’espoir d’avoir une place. En gros, mon salaire net était de 1 000 euros, de 1 500 quand j’acceptais des missions. J’étais employé par une société prestataire de service mais je devais faire le faux membre de Carrefour. À la limite, ma boîte n’était même pas au courant de ce qui se passait. La plupart du temps, les donneurs d’ordre étaient les responsables sécurité sous couvert des directeurs de magasins, voire sous celle du directeur régional. Pour l’affaire de Reims, j’étais carrément sous la responsabilité d’un directeur national. Pendant deux ans, j’ai marché à la carotte. J’ai participé à faire licencier 150 personnes. »

Fausse consécration

« Le 14 août 2002, on me remet la cravate Carrefour, symbole de l’appartenance à une équipe. Me voilà rassuré, mon embauche approche. Le chef de sécurité annonce au personnel d’Écully que je suis devenu cadre Carrefour. J’effectue donc toutes les tâches incombant à ma nouvelle fonction, je me retrouve même sur les plannings Carrefour. Je ne verrai pourtant jamais mon contrat de cadre ni le salaire correspondant. Je continue à être payé par Prestige sécurité. Il me faut patienter encore, ne rien dire à personne de cette situation, surtout pas à mon réel employeur. En décembre, le magasin ouvre le dimanche. Agacé par le comportement de mon chef qui ne fait rien avancer, je refuse de bosser. Il me rétorque qu’avec une telle mentalité je ne suis pas digne d’être cadre et menace de me virer. Sous la pression, je cède encore. Février 2003, nouvelle mission à Douai pour réussir à virer le chef sécu. Retour à Écully, pas de changement, je claque la porte et refuse de revenir travailler. Il m’est proposé une nouvelle mission en avril 2003 à La Ciotat... J’accepte encore une fois. »

Marché aux taupes

« Les caméras cachées, c’est une pratique très courante au niveau national. Une grosse partie du travail des agents de sécurité, c’est la surveillance du personnel, non des clients. Et pour la surveillance, tous les moyens sont bons : il n’y a aucune limite temporelle ou financière. On ne badine pas pour faire installer le dimanche après-midi 200 mètres de câbles pour relier de nouvelles caméras. De chef à chef, ils se refilent les infos pour savoir où acheter le matériel. Que cela soit clair, ces caméras sont uniquement destinées à surveiller le personnel et à faire tomber un maximum de gens. Toutes les semaines, les chefs de sécurité s’envoient leur palmarès. Il y a des documents type à renvoyer au directeur régional tous les lundis matins. Après, un classement est organisé par magasin : cela peut s’accompagner de primes de 10 % par mois. Pour quelqu’un qui est au smic, comme le sont les agents de sécurité, ça arrondit vraiment les fins de mois. »

Le parfait traqueur

« Caméras et micros dissimulés jusque dans des portables, des lampes ou même les toilettes... Planques dans des cartons de la réserve... Il y a même des écoutes téléphoniques. À Écully, par exemple, je sais que la CGT est constamment écoutée : il y a une caméra et un micro dans le local syndical. Sur Paris, à l’hypermarché de Belle-Épine, une vingtaine de caméras cachées sont installées en plus de la centaine de caméras autorisées. Mais on ne surveille pas le personnel que dans le magasin. Pour faire tomber un cadre, on rentre dans sa vie personnelle. Qui fait quoi ? Qui couche avec qui ? Qu’est-ce qu’il boit et combien ? On enquête aussi sur les comptes bancaires. En mai 2003, sur Écully, j’ai eu à "m’occuper" du chef du rayon décoration. Il était en arrêt maladie pour dépression. On m’a demandé de le suivre pour connaître ses heures de sortie, s’il avait éventuellement un petit job au noir à côté. Dans quel - établissement il - allait, - combien de verres il buvait. "S’il en boit six, tu en marques huit"... Il avait un ancien contrat, il coûtait trop cher... Il a été - licencié et a tout perdu. Il a fini en - psychiatrie. Je l’ai retrouvé, je lui ai fait une attestation en mea culpa pour qu’il puisse, s’il le souhaite, porter plainte contre moi. J’assume, mais il faut que Carrefour lui paie tout ce qu’ils lui ont fait subir. »

Épilogue

« À l’été 2003, j’étais vraiment en saturation. J’écris une lettre le 7 juillet, puis une deuxième pour demander le respect des engagements. Mon chef réagit par la menace pure et simple. Un soir, il s’invite à mon domicile en me disant que si je ne tenais pas à la vie de ma femme et de mes enfants, j’allais avoir des problèmes. Pour calmer le jeu, le directeur régional me promet un poste dans les quarante-huit heures. Le 7 octobre 2003, je commence au Carrefour Belle-Épine. Je déménage avec ma famille de Lyon à Paris. On me fait un contrat de stagiaire cadre, avec une période d’essai de trois mois renouvelable. Après m’avoir "offert" la place promise, il s’est révélé que cette fois je ne faisais pas l’affaire... Et à mon tour, on m’a remercié. »

Retour du boomerang

« Ce que je fais aujourd’hui, c’est quelque part une vengeance bien sûr. Je ne m’en cache pas. Mais ça fait surtout du bien à ma conscience. Car je rencontre des gens que j’ai "cartonnés" et qui vont pouvoir demander réparation, preuves à l’appui car j’ai gardé toutes les vidéos et tous les documents écrits. C’est - évident, j’ai beaucoup de - remords.

Aujourd’hui Carrefour m’appelle en me disant : on s’arrange, je vous file 10 000 euros par mois... Je leur dis d’aller se faire voir. Je ne veux plus vivre comme ça. C’est impossible. »

Contactée hier après-midi, la direction du groupe Carrefour n’a pas souhaité réagir.

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Cela nous vous fait pas penser au groupe Canal+ qui avait fait la même chose avec Bruno Gaccio, un des auteurs des "Guignols de l'info" ?


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8 mars 2006

Hors-Sujet : Cent Mille Blogs.com : LE site à pas louper

Bonjour,

Exceptionnellement, je tenais à vous faire découvrir un site Génial (et je ne bénificie de rien en vous en parlant) mais CENT MILLE BLOGS.com mérite vraiment d'être connu.

Si vous avez un Blog ou que vous connaissez quelqu'un qui en à un envoyez lui le lien, ou faite un RETROLIEN avec cet article.

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Le concept est simple et originial :

Vous séléctionnez une case que vous souhaitez réserver et qui vous appartiendra pendant au moins 3 ans ( durée minimum du concept ), lorsqu'une personne passera sur cette case vos informations s'afficheront ( présentation du blog, image de votre choix + lien de votre blog ). La couleur de votre case représente la catégorie dans laquelle se classe votre Blog, la forme Carré pour les Hommes et ronde pour les femmes.

Trouvez une case dans un emplacement stratégique en rapport avec votre catégorie et si un visiteur clic sur vote case cela l'ammènera directement sur votre blog, vous gagnerez des visiteurs !!!

Allez jetez un coup d'oeil : www.centmilleblogs.com

26 février 2006

Un commentaire à la UNE ! cherche Suggestions.

Si vous avez des suggestions à donner à moaCme merci de lui laisser un commentaire !

Surtout accroche toi moaCme !

idées d'action, de réaction ?

mon chef est un vrai "ptit chef". petit par la taille, petit par la mentalité, petit par la mesquinerie,... il finit par me sortir par les yeux.

il y a un an, j'avais demandé à ce qu'on achète un charriot, afin qu'aller chercher les ramettes de papier au sous-sol ne soit plus une corvée physique, la bande plastique est coupante pour les mains, un carton de ramettes est très lourd, on se salit ou s'abîme les vêtements, bref je lui ai dit que je voulais bien aller chercher le papier, mais que je voulais le faire avec du matériel adéquat.

Il m'a claqué la porte au nez ! Depuis, quand j'ai reprécisé que je n'irai plus (pour la raison citée ci-dessus). dernièrement, nous avons commandé des fournitures, et au lieu de les faire livrer à notre étage (où tout le monde les attendait avec impatience.....) il les a fait livrer au sous-sol ! (ce con !). Il avait l'air d'attendre que j'y aille, soit seule, soit avec lui, car tout le service a attendu 3 semaines les fournitures !!! dingue ça non ?

Moi je n'en peux plus d'autant de bêtises ! j'ai envie d'exploser. Je serais allée les chercher depuis longtemps ces fournitures, moi, si seulement on m'avait acheté ce foutu charriot (45 euros à carrefour !!!) car il y avait quand meme plusieurs cartons, de taille respectable. Mais vu qu'il m'avait claqué la porte au nez, je ne voyais pas pourquoi MOI j'aurais fait un effort....
Bref, ça c'était de l'annecdote, pour vous situer le minus......

D'autres exemples : le courrier (que la grande chef m'a demandé d'enregistrer systématiquement) et que lui prend directement sans me le passer..... après quand je dois faire une recherche, ben je trouve pas, forcément ya la moitié du courrier qu'il a pri directement et dont je n'ai pas pas eu connaissance ! Et puis le fait qu'il laisse trainer des trucs pendants des semaines entières, et il me les donne toujours la dernière demi-journée avant l'échéance !!! Ca n'est pas rare, (une fois de temps en temps ça pourrait arriver bien sur) mais lui c'est du systématique !
Je ne le supporte plus, il ouvre la porte de communication entre son bureau et le notre, il écoute tout ce qu'on dit....
Je vais finir par craquer !!!

Suggestions bienvenues.....

19 février 2006

Vous en avez pas marre de votre Patron ?

Depuis la création de ce blog, je n'ai reçu aucun commentaire...

N’hésitez pas à me dire ce que vous souhaiteriez voir dans ce blog.
Il y en a t-il parmi vous qui on osé "affronter" intelligemment leur hiérarchie ?
racontez-nous ?

augmentationsalaire_300pix

Un exemple, j'ai une collègue qui était tellement révolté qu'elle passait ses achats via internet : Vous savez ! vous appelez, on vous donne un code par téléphone, et vous rentrez le code sur le site internet... 
Bon c'est vrai, il y a plus intelligent, mais chacun à ses petites armes...  ;-)

Allez une petit vidéo bien pensée pour quitter le boulot plus tôt.  La Vidéo ici

et pensez à m'encourager en laissant un commentaire ou :

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5 février 2006

Bienvenue

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Bonjour cher internaute !

Tu es au boulot là ? Oui, moi aussi…

Je voulais savoir si tu te sentais exploité par ta hiérarchie ?
Ou si durant ta vie professionnelle, tu as déjà ressenti ce sentiment ?

J’ai l’impression que cela se généralise dans toutes les sociétés…

* Pour vous virer, on s’attaque à votre professionnalisme ou à votre travail… mais la Direction, se sert de ce prétexte juste pour vous remplacer par un petit jeune payé peu cher, voir même un stagiaire.

Ou encore

* On vous confie un nouveau poste/activité… Bien entendu, vous n’aurez pas d’augmentation pour autant. Seulement la Direction a estimé que vous avez le temps suffisant d’occuper cette nouvelle fonction en plus de la précédente.

Ou encore

* Le nec plus ultra, reste Le stage : ou comment être exploité sans être salarié.

Et le meilleur pour la fin :

* Le site http://jobdealer.net qui est un site d’enchères inversées en ligne appliquée aux offres d'emplois.

Et dire qu’il y a des employeurs qui osent proposer des postes aux salaires hyper bas.

Mais où allons-nous ? Décidément, les conditions de travail se dégradent.

Votez pour ce site au Weborama

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